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Par Princesse2 le 1 Novembre 2005 à 21:57
Ca s'peut pas qu'ca dure toujours
Ca s'peut pas
C'est trop fort, c'est trop pur
Notre amour la
Ca s'peut pas qu'ca dure encore
Ca s'peut pas
Quand les astres, seront mort
Tout le tralala
Ca s'peut pas y'a trop d'bonheur
Ca s'peut pas
L'amour le vrai, un jour y meurt
Y reste pas
On se tiens fort la main
En marchant sur des parkings
On se dévore des yeux
Sous la lune sanguine
Et on s'croit plus malin
Et on a peur de rien
Et on s'croit plus malin
Et on a peur de rien..
Ca s'peut pas qu'ton coeur s'emporte
Ca s'peut pas
Dans dix ans, derrière la porte
Au bruit d'mes pas
Ca s'peut pas qu'j'te fasse des choses
Ca s'peut pas
Quand j's'rais frippée, pleine d'arthrose
Ridée, tout ça
Ca s'peut pas qu't'es pas un jour
Ca s'peut pas
Pour une autre, les yeux d'l'amour
Tu m'oublieras..
On se tiens fort la main
En marchant sur des parkings
On se dévore des yeux
Sous la lune sanguine
Et on s'croit plus malin
Et on a peur de rien
Et on s'croit plus malin
Et on a peur de rien..
Mais ca s'peut pas qu'y'ai plus un jour
Ca s'peut pas
Tout c'bonheur, tout cet amour
Tout ce tralala
Ca s'peut pas qu'y'ai pas encore
Ca s'peut pas
Quand les astres seront mort
Nous deux, tout ça
Ca s'peut pas ouais dis le moi
Qu'ca s'peut pas
Que notre amour, à nous y meurt
Allez, y restera
On se tiens fort la main
En marchant sur des parkings
On se dévore des yeux
Sous la lune sanguine
Et on s'croit plus malin
Et on a peur de rien
Ouais on s'croit plus malin
Ouais on a peur de rien
Peur de rien..
1 commentaire -
Par Princesse2 le 1 Novembre 2005 à 21:48
...en ne connaissant que mon prénom et mon visage. A toi, qui menace de me tuer pour mon seul crime "d'esthète-autiste".
Pardon d'avoir trouvé ton amoureuse jolie...
1 commentaire -
Par Princesse2 le 1 Novembre 2005 à 19:46
... "Désespoir" peut s'entendre "Des espoirs"...
Mmmh...
4 commentaires -
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Par Princesse2 le 1 Novembre 2005 à 16:23
...elle portait à la perfection son prénom de jeune fille fraîche et à l'air ancien; la seule chose que ses yeux avaient parvenu à me dissimuler, c'était sa faim. Une faim intense, intense et intenable qui devait lui tordre le ventre comme moi à chaque instant. Une faim de bonheur, irrépressible. Une faim d'amour. Innassouvie.
La première fois que je la vis, je me jurai de ne pas l'admirer, et tentai de fermer les yeux au spectacle de son corps qui se jouait deux metres devant moi, dans une salle, sous le regard hargneux et cependant docile d'un professeur. "Ses paupières baissées l'empêchaient de voir que je l'étudiais". Roulant entre ses mains terriblement blanches une mèche bouclée de cheveux couleur noisette, elle riait, prenait des notes, croisait et décroisait ses jambes.
Le brouillard dans mon crâne et la machination avaient déjà commencé lorsque j'entendis Lucille me parler, et chose inouie, me regarder, m'offrir la vision de ses yeux où je me noyai sitôt. J'appris par une voix charmante qu'elle dansait, puis je la découvrais un peu, et cette admiration béate pour ces idées, ce desespoir, et ce visage sublime se transforma en ce que l'adolescente idéaliste et débile que je suis ose appeller de l'amitié.
Merci pour toi.
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